Au cas ou vous l’auriez oublié, l’association, dans le cadre de la semaine de la solidarité internationale organise une exposition photo du 16 novembre au 1er décembre dans le hall de la Maison de Santé Protestante de Bordeaux Bagatelle. Il y’a bien sur un peu plus de panneaux que sur la photo !
Le site d’Afrique Amitié se dote d’une fonctionnalité sur les réseaux sociaux. Vous pouvez maintenant partager nos articles sur vos réseaux préférés : Facebook, Twitter, Google+, Viadéo et même envoyer le lien d’un article à vos contacts par mail !
Lors de cette fin d’année, d’autres fonctionnalités ainsi qu’un contenu plus riche feront leur apparition sur le site !
Dans le cadre de la semaine de la solidarité internationale, l’association organisera du 16 novembre au 1er décembre, une exposition photo sous le titre « Un détour par le Mali pour les droits à l’essentiel » dans le Hall de la Maison de Santé Protestante Bordeaux Bagatelle, 203 rue Robespierre 33400 Talence. Merci à la Maison de Santé de nous accueillir pour cette superbe exposition.
Cette exposition est ouverte à tous, patients, accompagnants et extérieurs.
Plus d’informations sur la semaine de la solidarité :
Afrique Amitié organise un super loto le Samedi 12 octobre à 20h à la salle Daguin, rue du Professeur Daguin à Villenave d’Ornon (quartier Chambéry).
Lots :
1 séjour d’une semaine pour 4 p. à Saint-Lary
Filets Garnis
Cafetière électrique
Friteuse
Réveil électronique
Grands vins
Paniers de fruits et légumes
Parfums
Télescope
Jeux enfants
Autres …
Voila que 1997 est un peu loin derrière nous. Nous avons, maintenant, du recul pour vous préciser notre mode de fonctionnement et les façons dont nous mettons nos actions en place.
Les deux communes maliennes, dont nous nous occupons, sont toujours Fatoma au nord ouest et Yaguiné, (que l’on appelle aussi commune urbaine de Toya.) à l’est. De chacun dépendent une dizaine de petits villages. Les deux sont distants de 600km de Bamako.
Nous partons par avion, dont chacun à payé son billet, pour répondre à leurs projets en finançant soit par l’achat au Mali : fournitures scolaires, livres correspondant à leur programme, tables d’accouchement, pompes etc. …..ou par le paiement de la confection artisanale de matériels, comme la fabrication de charrettes métalliques, d’étagères métalliques, de plaques en ciment pour fermer les puits etc.….
On peut tout acheter au Mali. Le seul souci pour eux, c’est qu’ils n’ont pas l’argent pour financer des choses qui ne leur sont pas vitales : comment penser à financer un projet d’assainissement quand on n’ a pas l’argent pour le repas d’après ?
Nous avons commencé par soutenir les deux dispensaires des deux communes. Pour la santé bien des choses se sont éclaircies quant au fonctionnement. Aucun médicament ne peut plus être acheminé par nous. Rien ne nous empêche d’en acheter sur place.
Ce n’est pas la priorité, nous pouvons les aider d’avantage dans le fonctionnement de tous les jours. L’essence est chère et les distances importantes pour faire les campagnes de vaccinations, les suivis de grossesses en brousse. Nous achetons du matériel médical (seringues, aiguilles, perfuseurs etc.….) qui sera revendu aux patients pour financer le fonctionnement.
En quatre expéditions nous avons informé, dépisté, traité un peu plus de 4000 enfants pour la bilharziose urinaire, maladie parasitaire qui vient en importance, juste après le paludisme, premier fléau national.
Un des petits villages dépistés, ayant montré une contamination très importante de l’ordre de 80%, chez les enfants a amené les autorités régionales à traiter tout le village, enfants et adultes.
Au bout de 10 ans de persévérance dans ce domaine nous avons été récompensé par les propos de l’infirmier du centre de santé de Fatoma qui nous dit : » J’ai dans un premier temps résisté à votre détermination pour faire ces campagnes, pour moi trop importante par le nombre, mais 10 ans après, force est de constater que bien moins de jeunes adultes me consultent pour des problèmes urinaires. Je suis obligé de le relier à vos traitements. »
Toutes les choses que nous pouvons accomplir ne sont en rien comparé au soutien que nous apportons au personnel du dispensaire. Toutes les médecines traditionnelles sont encore très présentes et les patients arrivent au dispensaire en dernier recours. La santé est chère. L’infirmier a besoin d’être soutenu dans toutes ces démarches d’éducation à la santé auprès de cette nombreuse population.
Depuis les premières visites, nous demandions aux infirmiers s’ils accepteraient de prendre en charge des petits groupes d’étudiants infirmiers, car les programmes d’études donnaient aux étudiants la possibilité de faire des stages à l’étranger. Ce fut dans les deux cas un accord chaleureux. L’école infirmière de Bagatelle à répondu favorablement à nos propositions. Le retour, sur expérience, des élèves à démontré la qualité de ces échanges. La façon différente d’appréhender les soins, fait que ces professionnels de santé auront une autre vision des rapports avec les patients. L’ouverture sur les autres, comme le partage de multiples cultures, est une réelle richesse.
Nous avons assez vite compris que nous devions travailler sur la propreté de l’eau : 50% des maladies sont dues à cela. Le ministère de l’hydraulique nous donna l’autorisation de fermer les puits à gros diamètres d’ouverture, mis en place souvent par d’autres associations avant nous, par des plaques de ciment avec trappe de visite. Ceci pour écarter les animaux qui souillent et éventuellement qui chutent. Nous y avons fait installer ensuite des pompesmanuelles. Pompes India Mali achetées au commerçant local qui possède les pièces détachées et qui sait les réparer. Une gestion d’eau fut mise en place avec des comités de gestion. Un contrôle régulier est fait aux cours de nos passages.
Dans celle de Yaguiné nous avons contribué à un projet qui leur tenait vraiment à cœur, la participation à la construction d’un barrage qui permet de conserver des eauxdepluie en plus grande quantité pour permettre aux nappesphréatiques d’être alimentées.
Ceci permet de retrouver de l’eau dans les puits voisins. Ils étaient devenus vides. Filtré par la terre cette eau devient à peu prés potable pour la population. Elle a donc de l’eau pendant 8 mois de l’année alors qu’elle n’en avait plus. Le reste du temps les villageois doivent faire jusqu’à 10 km en charrette pour remplir seaux et bidons.
Nous ne pouvions pas non plus rester sourd aux demandes des femmes pour des micro crédits pour leurs projets collectifs (moulins à grain, teinture de tissus, semences pour les jardins et autres …).
Cette aide pour les potagers est très importante pour nous dans la santé. Elle permet la diversité alimentaire, les vitamines pour les personnes fragiles (vitamine A dans la mangue) etc.…..
Les familles ont besoin que l’on soutienne tous ce qui peut être fait dans le domaine du sida et de l’excision. Des associations locales sont en place et nous devons les soutenir.
Quoique on dise, les choses ne furent pas si simples et fort heureusement l’association des Maliens de Bordeaux et les ressortissants de Yaguiné en France, à Paris, étaient là pour nous éclairer sur toutes nos différences culturelles.
Nos interventions, menées dans les limites de nos moyens tant physiques que financiers, nous ont conduits à une certaine réflexion : les actions simples en relation directe avec les choses de la vie sont les plus profitables aux populations démunies. La régularité de nos séjours a démontré que de suivre les actions était important.
Aussi nous continuons nos expéditions, car les besoins sont nombreux.
Chaque expédition a confirmé sur les deux sites que la solidarité existe et que chacun à droit à un peu de chaleur et de réconfort. Les réactions des habitants de Fatoma et Yaguiné, face aux actions menées par AFRIQUE AMITIÉ, ont démontré qu’il fallait continuer et ne pas baisser les bras, ni se décourager devant tant de choses, encore, à faire.
L’Association des Maliens d’Aquitaine (ABEDI) et l’Association des Etudiants et Stagiaires Maliens en Aquitaine (AESMA) ont organisé, le samedi 21 avril 2012, une rencontre sur la crise au Mali. La problématique de la rébellion touareg, l’ébranlement du processus démocratique au Mali, avec le récent coup d’Etat militaire, la disparition du régime de Kadhafi, la présence formelle des islamistes radicaux, comme l’Aqmi, dans le désert et dans le Nord du Mali, sont autant de facteurs qui justifient l’inquiétude d’un chaos géopolitique dans la sous-région. L’effet de contamination des autres pays limitrophes est tellement probable que sa résolution n’impliquera pas que des acteurs maliens, qu’ils soient politiques, militaires. La porosité des frontières, à laquelle on associe les velléités des islamistes, est loin d’infirmer cette hypothèse. Pour en comprendre les enjeux, « Kaddu » sénégalais de Bordeaux vous restitue, en trois parties, un débat instructif co-animé par Ibrahima Sidibé, Doctorant à l’IEP (Institut d’Etudes Politiques) et Alioune Badara Fall, Professeur de Droit à l’Université de Bordeaux IV.
Mis à jour le : 25 novembre 2013 par Afrique Amitie
Expo photo – Semaine de la solidarité
Au cas ou vous l’auriez oublié, l’association, dans le cadre de la semaine de la solidarité internationale organise une exposition photo du 16 novembre au 1er décembre dans le hall de la Maison de Santé Protestante de Bordeaux Bagatelle. Il y’a bien sur un peu plus de panneaux que sur la photo !
Voir le plan d’accès
Mis à jour le : 15 octobre 2013 par Afrique Amitie
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Le site d’Afrique Amitié se dote d’une fonctionnalité sur les réseaux sociaux. Vous pouvez maintenant partager nos articles sur vos réseaux préférés : Facebook, Twitter, Google+, Viadéo et même envoyer le lien d’un article à vos contacts par mail !
Lors de cette fin d’année, d’autres fonctionnalités ainsi qu’un contenu plus riche feront leur apparition sur le site !
Mis à jour le : 5 décembre 2013 par Afrique Amitie
Calendrier 2014
Ils sont là !
Les calendriers 2014 de l’association avec encore une fois de superbes photos sont d’ores et déjà disponibles à l’achat.
N’hésitez pas à vous rapprocher de nous pour en avoir !
Mis à jour le : 13 octobre 2013 par Afrique Amitie
Semaine de la solidarité
Dans le cadre de la semaine de la solidarité internationale, l’association organisera du 16 novembre au 1er décembre, une exposition photo sous le titre « Un détour par le Mali pour les droits à l’essentiel » dans le Hall de la Maison de Santé Protestante Bordeaux Bagatelle, 203 rue Robespierre 33400 Talence. Merci à la Maison de Santé de nous accueillir pour cette superbe exposition.
Cette exposition est ouverte à tous, patients, accompagnants et extérieurs.
Plus d’informations sur la semaine de la solidarité :
http://www.lasemaine.org – http://www.mspb.fr/
Publié : 15 septembre 2013 par Afrique Amitie
Super Loto
Afrique Amitié organise un super loto le Samedi 12 octobre à 20h à la salle Daguin, rue du Professeur Daguin à Villenave d’Ornon (quartier Chambéry).
Lots :
1 séjour d’une semaine pour 4 p. à Saint-Lary
Filets Garnis
Cafetière électrique
Friteuse
Réveil électronique
Grands vins
Paniers de fruits et légumes
Parfums
Télescope
Jeux enfants
Autres …
Prix des cartons :
2.5€ le carton
10€ la plaque de 6
15€ les 10
Accès :
Agrandir le plan
Mis à jour le : 30 avril 2020 par Afrique Amitie
Le mot de la Présidente
Voila que 1997 est un peu loin derrière nous. Nous avons, maintenant, du recul pour vous préciser notre mode de fonctionnement et les façons dont nous mettons nos actions en place.
Les deux communes maliennes, dont nous nous occupons, sont toujours Fatoma au nord ouest et Yaguiné, (que l’on appelle aussi commune urbaine de Toya.) à l’est. De chacun dépendent une dizaine de petits villages. Les deux sont distants de 600km de Bamako.
Nous partons par avion, dont chacun à payé son billet, pour répondre à leurs projets en finançant soit par l’achat au Mali : fournitures scolaires, livres correspondant à leur programme, tables d’accouchement, pompes etc. …..ou par le paiement de la confection artisanale de matériels, comme la fabrication de charrettes métalliques, d’étagères métalliques, de plaques en ciment pour fermer les puits etc.….
On peut tout acheter au Mali. Le seul souci pour eux, c’est qu’ils n’ont pas l’argent pour financer des choses qui ne leur sont pas vitales : comment penser à financer un projet d’assainissement quand on n’ a pas l’argent pour le repas d’après ?
Nous avons commencé par soutenir les deux dispensaires des deux communes. Pour la santé bien des choses se sont éclaircies quant au fonctionnement. Aucun médicament ne peut plus être acheminé par nous. Rien ne nous empêche d’en acheter sur place.
Ce n’est pas la priorité, nous pouvons les aider d’avantage dans le fonctionnement de tous les jours. L’essence est chère et les distances importantes pour faire les campagnes de vaccinations, les suivis de grossesses en brousse. Nous achetons du matériel médical (seringues, aiguilles, perfuseurs etc.….) qui sera revendu aux patients pour financer le fonctionnement.
En quatre expéditions nous avons informé, dépisté, traité un peu plus de 4000 enfants pour la bilharziose urinaire, maladie parasitaire qui vient en importance, juste après le paludisme, premier fléau national.
Un des petits villages dépistés, ayant montré une contamination très importante de l’ordre de 80%, chez les enfants a amené les autorités régionales à traiter tout le village, enfants et adultes.
Au bout de 10 ans de persévérance dans ce domaine nous avons été récompensé par les propos de l’infirmier du centre de santé de Fatoma qui nous dit : » J’ai dans un premier temps résisté à votre détermination pour faire ces campagnes, pour moi trop importante par le nombre, mais 10 ans après, force est de constater que bien moins de jeunes adultes me consultent pour des problèmes urinaires. Je suis obligé de le relier à vos traitements. »
Toutes les choses que nous pouvons accomplir ne sont en rien comparé au soutien que nous apportons au personnel du dispensaire. Toutes les médecines traditionnelles sont encore très présentes et les patients arrivent au dispensaire en dernier recours. La santé est chère. L’infirmier a besoin d’être soutenu dans toutes ces démarches d’éducation à la santé auprès de cette nombreuse population.
Depuis les premières visites, nous demandions aux infirmiers s’ils accepteraient de prendre en charge des petits groupes d’étudiants infirmiers, car les programmes d’études donnaient aux étudiants la possibilité de faire des stages à l’étranger. Ce fut dans les deux cas un accord chaleureux. L’école infirmière de Bagatelle à répondu favorablement à nos propositions. Le retour, sur expérience, des élèves à démontré la qualité de ces échanges. La façon différente d’appréhender les soins, fait que ces professionnels de santé auront une autre vision des rapports avec les patients. L’ouverture sur les autres, comme le partage de multiples cultures, est une réelle richesse.
Nous avons assez vite compris que nous devions travailler sur la propreté de l’eau : 50% des maladies sont dues à cela. Le ministère de l’hydraulique nous donna l’autorisation de fermer les puits à gros diamètres d’ouverture, mis en place souvent par d’autres associations avant nous, par des plaques de ciment avec trappe de visite. Ceci pour écarter les animaux qui souillent et éventuellement qui chutent. Nous y avons fait installer ensuite des pompes manuelles. Pompes India Mali achetées au commerçant local qui possède les pièces détachées et qui sait les réparer. Une gestion d’eau fut mise en place avec des comités de gestion. Un contrôle régulier est fait aux cours de nos passages.
Ceci dans la commune de Fatoma.
Dans celle de Yaguiné nous avons contribué à un projet qui leur tenait vraiment à cœur, la participation à la construction d’un barrage qui permet de conserver des eaux de pluie en plus grande quantité pour permettre aux nappes phréatiques d’être alimentées.
Ceci permet de retrouver de l’eau dans les puits voisins. Ils étaient devenus vides. Filtré par la terre cette eau devient à peu prés potable pour la population. Elle a donc de l’eau pendant 8 mois de l’année alors qu’elle n’en avait plus. Le reste du temps les villageois doivent faire jusqu’à 10 km en charrette pour remplir seaux et bidons.
Nous ne pouvions pas non plus rester sourd aux demandes des femmes pour des micro crédits pour leurs projets collectifs (moulins à grain, teinture de tissus, semences pour les jardins et autres …).
Cette aide pour les potagers est très importante pour nous dans la santé. Elle permet la diversité alimentaire, les vitamines pour les personnes fragiles (vitamine A dans la mangue) etc.…..
Les familles ont besoin que l’on soutienne tous ce qui peut être fait dans le domaine du sida et de l’excision. Des associations locales sont en place et nous devons les soutenir.
Quoique on dise, les choses ne furent pas si simples et fort heureusement l’association des Maliens de Bordeaux et les ressortissants de Yaguiné en France, à Paris, étaient là pour nous éclairer sur toutes nos différences culturelles.
Nos interventions, menées dans les limites de nos moyens tant physiques que financiers, nous ont conduits à une certaine réflexion : les actions simples en relation directe avec les choses de la vie sont les plus profitables aux populations démunies. La régularité de nos séjours a démontré que de suivre les actions était important.
Aussi nous continuons nos expéditions, car les besoins sont nombreux.
Chaque expédition a confirmé sur les deux sites que la solidarité existe et que chacun à droit à un peu de chaleur et de réconfort. Les réactions des habitants de Fatoma et Yaguiné, face aux actions menées par AFRIQUE AMITIÉ, ont démontré qu’il fallait continuer et ne pas baisser les bras, ni se décourager devant tant de choses, encore, à faire.
Mis à jour le : 12 octobre 2013 par Afrique Amitie
La crise malienne
Tout ce que vous voulez savoir
Bonjour à tous,
L’Association des Maliens d’Aquitaine (ABEDI) et l’Association des Etudiants et Stagiaires Maliens en Aquitaine (AESMA) ont organisé, le samedi 21 avril 2012, une rencontre sur la crise au Mali. La problématique de la rébellion touareg, l’ébranlement du processus démocratique au Mali, avec le récent coup d’Etat militaire, la disparition du régime de Kadhafi, la présence formelle des islamistes radicaux, comme l’Aqmi, dans le désert et dans le Nord du Mali, sont autant de facteurs qui justifient l’inquiétude d’un chaos géopolitique dans la sous-région. L’effet de contamination des autres pays limitrophes est tellement probable que sa résolution n’impliquera pas que des acteurs maliens, qu’ils soient politiques, militaires. La porosité des frontières, à laquelle on associe les velléités des islamistes, est loin d’infirmer cette hypothèse. Pour en comprendre les enjeux, « Kaddu » sénégalais de Bordeaux vous restitue, en trois parties, un débat instructif co-animé par Ibrahima Sidibé, Doctorant à l’IEP (Institut d’Etudes Politiques) et Alioune Badara Fall, Professeur de Droit à l’Université de Bordeaux IV.
La crise du Mali en débat (Partie 1)
La crise du Mali en débat (Partie 2)
La crise du Mali en débat (Partie 3)
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